Pratique. L’application Kraaft fonctionne comme une messagerie instantanée. Le plus : elle devient un véritable outil d’aide au suivi de chantier pour les équipes sur le terrain. Déjà adoptée par plusieurs entreprises de TP, elle est notamment particulièrement adaptée aux travaux sur réseaux enterrés… Explications.
Rester en contact permanent avec ses équipes, de manière simple, tout en formalisant et alimentant les informations du chantier en lui-même, c’est l’idée développée par l’équipe Kraaft avec son application mobile du même nom. « Nous avons pu nous rendre compte de la difficulté pour ceux qui doivent notamment suivre plusieurs chantiers à la fois, de disposer de toutes les informations numériques remontées par les équipes sur le terrain », explique Marc Negre, président et co-fondateur de l’entreprise du même nom. L’interface, qui fonctionne comme une messagerie instantanée, va ainsi permettre de conserver et classer les messages, informations, mais aussi les photos, qui vont par la même occasion, et de manière automatique, permettre de les géolocaliser et les horodater avec précision.
« Pour les conducteurs de travaux, c’est un véritable gain de temps. Juste le temps d’un clic ! »
« Les informations ainsi récoltées participent à la traçabilité du suivi des travaux, reprend le dirigeant. Elles alimentent et formalisent en quelques sorte cette tâche. » La base de données peut aussi être alimentée en cas de besoin, en plans de recollement par exemple pour les chantiers de pose de réseaux, ce qui permet d’accéder à tout moment à ces infos et de les partager si besoin. C’est également pour les responsables chantier, la possibilité d’être réactif car la plateforme permet de valider des interventions, des jalons ou des aléas directement avec le client. Un outil particulièrement pertinent sur les chantiers de réseaux, branchements, travaux de voirie, renouvellement ou enfouissement de canalisations.« Générer et télécharger des rapports de suivi de chantier, pour les conducteurs de travaux, c’est un véritable gain de temps. Juste le temps d’un clic ! », relève encore Marc Negre.
